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[[File:Jean-Etienne Liotard 06.jpg|thumb|Self-portrait, 1773]]
'''Jean-Étienne Liotard''' ([[22. joulukuuta]] [[1702]] [[Geneve]] - [[12. kesäkuuta]] [[1789]] Geneve) was a [[Swiss-French]] [[Painting|painter]], art [[connoisseur]] and dealer.
 
==Life==
 
[[File:Jean-Étienne Liotard - Apollo en Daphne, naar het beeld van Gianlorenzo Bernini in de Borghese verzameling te Rome.jpg|thumb|left|Apollo en Daphne'', 1736, [[Rijksmuseum Amsterdam]], [[Nederlands]]]]
 
[[File:Jean-Étienne Liotard - Portret van Marie Fargues, echtgenote van de kunstenaar, in Turks kostuum.jpg|thumb|Portrait of his wife in Turkish dress. [[Rijksmuseum Amsterdam]]]]
== BiographieElämänkerta ==
Jean-Étienne Liotard aloitti opintonsa Genevssä miniatyyrimaalari [[Daniel Gardelle]]n (1673-1753) opissa, jonka jälkeen hän jatkoi vuodesta [[1723]] Pariisissa [[Jean-Louis Petitot|Jean-Louis Petitot'n]] (1692-1730) alaisuudessa, jolloin hän kopioi
Jean-Étienne Liotard a débuté ses études à Genève chez le miniaturiste [[Daniel Gardelle]] (1673-1753) puis dès [[1723]] à [[Paris]] avec [[Jean-Louis Petitot]] (1692-1730), dont il copie les [[émail (vitrifiable)|émaux]] et des [[Miniature (portrait)|miniature]]s avec une remarquable compétence. Monté à [[Paris]] en [[1725]], il étudie sous la direction de [[François Lemoyne]] et [[Jean-Baptiste Massé]] (1687-1767) qui le recommande au marquis de Puysieux, qui l’emmène à [[Naples]]. En [[1735]] il est à [[Rome]] où il peint les portraits du pape [[Clément XII]] et de plusieurs cardinaux. Trois ans plus tard, il accompagne Lord Duncannon à [[Constantinople]], puis à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] en [[1742]] où il fait les portraits de l'empereur [[François Ier du Saint-Empire|François {{Ier}}]] et de l’impératrice [[Marie-Thérèse Ire de Hongrie|Marie-Thérèse]] qu'on cite parmi ses chefs-d'œuvre. Ayant adopté le costume oriental, il est surnommé « le peintre turc ». En [[1744]], il se rend en [[Angleterre]] où il a peint la princesse de Galles en [[1753]]. En 1756, il passe en [[Hollande]] où, l'année suivante, il épouse Marie Fargues. De nouveau en Angleterre en 1772, son nom figure parmi les exposants à l'Académie royale dans les deux années suivantes avant de revenir à sa ville natale en [[1776]].
 
Jean-Étienne Liotard a débuté ses études à Genève chez le miniaturiste [[Daniel Gardelle]] (1673-1753) puis dès [[1723]] à [[Paris]] avec [[Jean-Louis Petitot]] (1692-1730), dont il copie les [[émail (vitrifiable)|émaux]] et des [[Miniature (portrait)|miniature]]s avec une remarquable compétence. Monté à [[Paris]] en [[1725]], il étudie sous la direction de [[François Lemoyne]] et [[Jean-Baptiste Massé]] (1687-1767) qui le recommande au marquis de Puysieux, qui l’emmène à [[Naples]]. En [[1735]] il est à [[Rome]] où il peint les portraits du pape [[Clément XII]] et de plusieurs cardinaux. Trois ans plus tard, il accompagne Lord Duncannon à [[Constantinople]], puis à [[Vienne (Autriche)|Vienne]] en [[1742]] où il fait les portraits de l'empereur [[François Ier du Saint-Empire|François {{Ier}}]] et de l’impératrice [[Marie-Thérèse Ire de Hongrie|Marie-Thérèse]] qu'on cite parmi ses chefs-d'œuvre. Ayant adopté le costume oriental, il est surnommé « le peintre turc ». En [[1744]], il se rend en [[Angleterre]] où il a peint la princesse de Galles en [[1753]]. En 1756, il passe en [[Hollande]] où, l'année suivante, il épouse Marie Fargues. De nouveau en Angleterre en 1772, son nom figure parmi les exposants à l'Académie royale dans les deux années suivantes avant de revenir à sa ville natale en [[1776]].
 
Liotard était un artiste très polyvalent et, bien que sa renommée dépende largement de la grâce et de la sensibilité de ses pastels, dont ''la Liseuse'', ''la Belle Chocolatière'' et ''la Belle Lyonnaise'' qui appartiennent à la Galerie de [[Dresde]] sont d’agréables exemples, ses peintures en émail, ses gravures sur cuivre et sa peinture sur verre sont également dignes d'attention critique. Collectionneur expert de peintures par les anciens maîtres, il est également l'auteur d'un ''Traité des principes et des règles de la peinture'' (1781)<ref>''Traité des principes et des règles de la peinture'', Genève, 1781, 97 p. (réédité en fac simile chez Minkoff, Genève, 1973)</ref>. Il a vendu à des prix très élevés plusieurs des chefs-d'œuvre qu'il avait acquis lors de son deuxième séjour en Angleterre. Les musées d'[[Amsterdam]], de [[Berne]] et de [[Genève]] sont particulièrement riches en exemples de ses peintures et pastels. Le [[Musée du Louvre|Louvre]] possède 42 de ses pastels. À [[Londres]], le [[Victoria and Albert Museum]] possède un tableau d'un Turc assis et le [[British Museum]] possède deux de ses pastels. Un portrait de l'artiste se trouve dans la ''Sala dei pittori'' de la [[Galerie des Offices|galerie d'Uffizi]] de [[Florence]].